Extraite du site SVN
Si vous n’êtes pas satisfait(e) de votre thérapeute ou si vous avez une plainte, vous n’êtes pas obligé(e) de la garder pour vous.
Il existe plusieurs façons d’exprimer votre mécontentement.
1. Parlez-en à votre thérapeute
Bien que les membres de l’Association Néerlandaise de Shiatsu (SVN) s’appuient sur leur expertise et leur dévouement pour vous aider de manière responsable et respectueuse, il est possible que vous ne soyez pas satisfait(e) de la séance ou de son déroulement.
Dans un tel cas, nous vous recommandons d’abord d’entamer une conversation avec votre thérapeute. Après tout, il se peut que vous ayez des attentes différentes vis-à-vis du traitement. Une conversation peut résoudre beaucoup de choses.
2. Réception des réclamations
Avez-vous besoin de soutien pendant une conversation ou n’y voyez-vous pas l’intérêt ou avez-vous d’autres questions ? Vous pouvez ensuite contacter la personne spécialisé de l’Association Néerlandaise de Shiatsu. Dans ce cas, remplissez le formulaire de réclamation et renvoyez-le dans une enveloppe scellée à cette adresse
ter attentie van de contactpersoon
Beetslaan 78
2281 TL Rijswijk
Vous pouvez également envoyer le formulaire de réclamation directement par e-mail à contact@shiatsuvereniging.nl
Cette personne prendra alors contact avec vous. Si elle le souhaite, elle peut engager un responsable des plaintes. Ce responsable des plaintes est employé par le SCAG et travaille indépendamment du thérapeute et de l’association professionnelle. Il/elle vous accompagnera dans la formulation de votre réclamation et examinera avec vous les options disponibles pour y trouver une réponse.
3. Commission des litiges
Si le soutien du responsable des réclamations n’a pas abouti à un résultat satisfaisant, il est toujours possible de soumettre votre plainte à une commission des litiges. Le responsable des plaintes vous expliquera comment cela fonctionne.
4. Conseil de discipline
Si les étapes précédentes ne vous ont pas satisfait -e, vous pouvez soumettre votre plainte à la Fondation du droit disciplinaire des soins complémentaires (TCZ). Le TCZ veille à la qualité de la pratique professionnelle au sein des soins complémentaires.